LA FIN DE POMPÉI : Le Souffle Du Vésuve

LA FIN DE POMPÉI : Le Souffle Du Vésuve

LA FIN DE POMPÉI : Le Souffle Du Vésuve
Histoire
LA FIN DE POMPÉI : Le Souffle Du Vésuve
Loading
/

LA FIN DE POMPÉI : Le Souffle Du Vésuve

La fin de Pompéi… qui ne connait pas son histoire tragique ?
Revivez-la en son DOLBY ATMOS par l’intermédiaire de la voix de Lucius, un jeune habitant de Pompéi…

Texte & Réalisation : Yan Harris
Narration : Nicolas Martin
Durée : 9’15

D’autres histoires qui ont marqué l’Histoire à écouter sur E-STORY.fr

Pour commencer, au cœur de l’année 79, le Vésuve, monstre de pierre et de feu, se réveillait. Dans l’antique Pompéi, la vie battait son plein. Marchands, artistes, citoyens, tous ignoraient le destin tragique qui les attendait.

C’est alors que le 24 octobre, un grondement sourd, presque palpable, troublait la quiétude. Le ciel, d’azur habituel, virait à un rouge sinistre. Les Pompéiens, curieux et effrayés, levaient les yeux. Là-haut, le Vésuve entrait en scène, majestueux et terrifiant.

Puis, les heures s’écoulaient. La montagne crachait cendres et pierres. Une pluie noire et ardente s’abattait sur la ville. Les toits croulaient sous le poids, les rues se remplissaient de cette lave froide. Pompéi, jadis vibrante, devenait une cité fantôme.

Alors, la panique. Les Pompéiens fuyaient, cherchaient refuge. Mais où ? Le danger venait du ciel, impitoyable. Certains se barricadaient chez eux, priant les dieux. D’autres couraient vers un salut incertain.

Vers la fin de Pompéi ?

Tandis que les heures devenaient jours., le Vésuve ne faiblissait pas. Son souffle brûlant, ses cendres mortelles, rendaient l’air irrespirable. Pompéi suffoquait sous le poids de cette apocalypse.

Ainsi, au cœur de ce chaos, des moments de bravoure, de solidarité. Des familles se serraient, des amis s’entraidaient. Mais la nature, dans sa colère aveugle, ne distinguait pas.

Finalement, le silence. Pompéi, autrefois vivante, n’était plus que ruines et cendres. Enfouie, figée dans le temps, elle témoignait de la puissance destructrice de la nature. Les corps des victimes, pétrifiés, racontaient leurs derniers instants.

Finalement, aujourd’hui, Pompéi se dresse, site mémorial, rappelant la fragilité de l’existence.
En fait, les rues, les maisons, les fresques, tout parle de vie et de mort.
En somme, le Vésuve, toujours présent, veille, rappelant que sous la tranquillité peut sommeiller une force dévastatrice.